Il existe une panoplie de traitement, du simple accessoire favorisant la respiration au recours à la chirurgie. L’important est de trouver celui qui vous correspond le mieux. Attention, si certains traitements sont très efficaces pour diminuer le ronflement, ils ne le sont pas forcément pour l’apnée du sommeil. Aussi, au préalable, il est toujours vivement recommander de consulter un spécialiste pour s’assurer que vous n’êtes pas victimes d’une apnée du sommeil.
Pour les ronfleurs ayant tendance à l’embonpoint, il est conseillé de débuter un régime. De même, il est préférable d’arrêter le tabac et l’alcool en soirée.
- Les oreillers anti-ronflement : Leur efficacité n’est certes pas scientifiquement prouvée mais ils peuvent considérablement diminuer le ronflement en améliorant la respiration. Il demeure la solution la moins perturbante pour le ronfleur. Inefficace en cas de très fort ronflement.
- L’orthèse d’écartement narinaire: On ne peut pas parler de traitement. Cet accessoire se place sur le nez et, en écartant les narines, facilite la respiration.
- Les sprays Nasaux : Il s’agit de spray conçu, la plupart du temps, à base de produits naturels. Leur efficacité est relativement limitée, ces derniers jouant plus un effet placebo sur le ronfleur.
- Les stimulateurs électriques de poignets : Ils détectent les mouvements du ronfleur et l’incitent à dormir de préférence sur le côté ou sur le ventre, des positions qui limitent le ronflement. Très peu probant pour des ronflements de forte intensité.
- La ventilation spontanée en pression positive continue (C.PAP) : Ce traitement est très utilisé pour traiter le ronflement et l’apnée du sommeil mais attention il ne guérit pas. Il s’agit d’un masque, placé au niveau du nez, connecté à une unité CPAP qui, branchée à l’électricité, fournit un écoulement d’air constant. Bien sûr, la pression sera adaptée à l’intensité de vos troubles. Certes très utile, ce traitement est souvent abandonné par les patients qui le jugent souvent trop laborieux. De plus, il peut engendrer des rougeurs autour du nez suite à la pose du masque et une sécheresse nasale.
- La prothèse d’avancée mandibulaire : Il s’agit d’une double gouttière à placer durant le sommeil. Cette dernière engendre l’avancée de la mâchoire inférieure, décolle la langue de la paroi postérieure et libère de ce fait le passage de l’air. Elle est disponible en pharmacie ou réalisée sur-mesure par le dentiste. Attention, cependant, à long terme, elle peut modifier l’articulation mandibulaire.
- La canule souple oropharyngée C.S.O. : Il s’agit de placer un tube en silicone dans la bouche afin de favoriser le passage de l’air, de le filtrer et de l’humidifier. Il est très utilisé par les ronfleurs. Son efficacité n’a pas été totalement prouvée concernant les apnées du sommeil. Petit bémol, certains sujets ne tolèrent pas sa présence.
- La chirurgie conventionnelle : Une telle intervention est proposée lors d’un ronflement modéré sans ou avec peu de phénomène d’apnée du sommeil. Si votre apnée de sommeil est dite « obstructive », le médecin conseillera, dans certains cas, de retirer les amygdales. Cet acte chirurgical s’avèrera très bénéfique mais il n’est pas rare que le ronflement réapparaisse quelques années plus tard. Il s’agit de dégager le pharynx en coupant le bord du voile du palais et la luette. Cette opération chirurgicale, sous anesthésie générale, est assez douloureuse au réveil et dans les jours qui suivent d’autant qu’il sera difficile de s’alimenter. Privilégiez le repos et les aliments liquides.
- La chirurgie au laser : Cette méthode, en développement ces dernières années, nécessite plusieurs séances sous anesthésie locale. Elle vise à vaporiser la luette et le voile du palais. Elle est très efficace et nettement moins douloureuse que la chirurgie traditionnelle.
- La radio-fréquence : La dernière née de sa catégorie. Sous anesthésie locale, cette intervention consiste à introduire une électrode dans le voile du palais afin de faire passer un courant électrique, bien sûr de très faible intensité, pour réduire ses vibrations. Plusieurs séances sont parfois obligatoires mais les douleurs occasionnées sont bien moindres que dans le cas d’une chirurgie conventionnelle. De plus, les résultats sont assez similaires et très probants dans le cas d’une apnée du sommeil.
Pour les ronfleurs ayant tendance à l’embonpoint, il est conseillé de débuter un régime. De même, il est préférable d’arrêter le tabac et l’alcool en soirée.
- Les oreillers anti-ronflement : Leur efficacité n’est certes pas scientifiquement prouvée mais ils peuvent considérablement diminuer le ronflement en améliorant la respiration. Il demeure la solution la moins perturbante pour le ronfleur. Inefficace en cas de très fort ronflement.
- L’orthèse d’écartement narinaire: On ne peut pas parler de traitement. Cet accessoire se place sur le nez et, en écartant les narines, facilite la respiration.
- Les sprays Nasaux : Il s’agit de spray conçu, la plupart du temps, à base de produits naturels. Leur efficacité est relativement limitée, ces derniers jouant plus un effet placebo sur le ronfleur.
- Les stimulateurs électriques de poignets : Ils détectent les mouvements du ronfleur et l’incitent à dormir de préférence sur le côté ou sur le ventre, des positions qui limitent le ronflement. Très peu probant pour des ronflements de forte intensité.
- La ventilation spontanée en pression positive continue (C.PAP) : Ce traitement est très utilisé pour traiter le ronflement et l’apnée du sommeil mais attention il ne guérit pas. Il s’agit d’un masque, placé au niveau du nez, connecté à une unité CPAP qui, branchée à l’électricité, fournit un écoulement d’air constant. Bien sûr, la pression sera adaptée à l’intensité de vos troubles. Certes très utile, ce traitement est souvent abandonné par les patients qui le jugent souvent trop laborieux. De plus, il peut engendrer des rougeurs autour du nez suite à la pose du masque et une sécheresse nasale.
- La prothèse d’avancée mandibulaire : Il s’agit d’une double gouttière à placer durant le sommeil. Cette dernière engendre l’avancée de la mâchoire inférieure, décolle la langue de la paroi postérieure et libère de ce fait le passage de l’air. Elle est disponible en pharmacie ou réalisée sur-mesure par le dentiste. Attention, cependant, à long terme, elle peut modifier l’articulation mandibulaire.
- La canule souple oropharyngée C.S.O. : Il s’agit de placer un tube en silicone dans la bouche afin de favoriser le passage de l’air, de le filtrer et de l’humidifier. Il est très utilisé par les ronfleurs. Son efficacité n’a pas été totalement prouvée concernant les apnées du sommeil. Petit bémol, certains sujets ne tolèrent pas sa présence.
- La chirurgie conventionnelle : Une telle intervention est proposée lors d’un ronflement modéré sans ou avec peu de phénomène d’apnée du sommeil. Si votre apnée de sommeil est dite « obstructive », le médecin conseillera, dans certains cas, de retirer les amygdales. Cet acte chirurgical s’avèrera très bénéfique mais il n’est pas rare que le ronflement réapparaisse quelques années plus tard. Il s’agit de dégager le pharynx en coupant le bord du voile du palais et la luette. Cette opération chirurgicale, sous anesthésie générale, est assez douloureuse au réveil et dans les jours qui suivent d’autant qu’il sera difficile de s’alimenter. Privilégiez le repos et les aliments liquides.
- La chirurgie au laser : Cette méthode, en développement ces dernières années, nécessite plusieurs séances sous anesthésie locale. Elle vise à vaporiser la luette et le voile du palais. Elle est très efficace et nettement moins douloureuse que la chirurgie traditionnelle.
- La radio-fréquence : La dernière née de sa catégorie. Sous anesthésie locale, cette intervention consiste à introduire une électrode dans le voile du palais afin de faire passer un courant électrique, bien sûr de très faible intensité, pour réduire ses vibrations. Plusieurs séances sont parfois obligatoires mais les douleurs occasionnées sont bien moindres que dans le cas d’une chirurgie conventionnelle. De plus, les résultats sont assez similaires et très probants dans le cas d’une apnée du sommeil.
Plusieurs rubriques et conseils composent ce site sur le ronflement et l'apnée du sommeil :
- Le ronflement en quelques mots : Comprendre le ronflement
- Les causes du ronflement : Identifier les facteurs qui le favorisent
- L’apnée du sommeil : Explications d’une pathologie encore méconnue
- Le dépistage : Diagnostiquer au plus tôt tout dysfonctionnement
- Les traitements : Solutions pour stopper les ronflements et l’apnée du sommeil
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